2. La prononciation et la transcription des consonnes

Publié le par Olivier de Vaux

On peut se pencher sur les consonnes des mots français pour voir comment elles évoluent en patois, ou, à l'inverse examiner les mots patois pour analyser les consonnes qui les composent.

Les deux démarches s'avèrent également intéressantes c'est pourquoi nous les exposerons tour à tour.

 

A. Les consonnes du français et leur évolution en patois

 

Le roulement du r

 

Il est clair que ce roulement si caractéristique se perd, les personnes qui parlent encore couramment le patois étant souvent capables de s'exprimer en français sans rouler ces fameux rCe n'est que dans les conversations animées en patois que ce beau “roulé” refait surface.

Mon but étant de faire sortir de l'oubli le parler de Sivignon j'ai opté pour l'a priori d'une prononciation où l'on essaie de systématiser le roulement du rDe ce fait, contrairement à certains auteurs , je n'ai pas modifié l'orthographe des mots pour que ce roulement ressorte. Pour quelques uns, j'ai fait exception, notamment les mots commençant par pre ou bre tels que peurne (prune), beurdin parfois écrits prrene, brredin. J'ai remplacé le double par eur afin d'allonger le et de rouler ce fameux r presque automatiquement pour être en conformité avec la prononciation courante des locuteurs qui ne roulent plus vraiment les r.

 

La transformation du che en tse

 

Si l'on en croit Norbert Guinot (auteur d'un dictionnaire historique et étymologique du charolais-brionnais), le tse est implanté en Charolais depuis environ 1500 ans, ce qui est plus que respectable. S'il est vrai que la plupart du temps le ch d'un mot est remplacé par un tse bien sonore (eul tsin, la vatse), il ne faut pas croire qu'il n'y a pas de ch dans le patois de Sivignon. Il y en a même beaucoup, mais ils remplacent le ss comme dans beuchon (buisson), le cl comme dans onche (oncle), le fl comme dans gonche (gonflé), le rs comme dans mochau (morceau), ou ils conservent leur prononciation française (la machine). Je renvoie le lecteur curieux à l'ouvrage du professeur Mario Rossi , Dictionnaire étymologique et ethnologique des parlers brionnais.

 

La transformation du ou du en dze

 

Le dze a la même ancienneté que son grand frère le tse. Il remplace tous les ainsi que le mais seulement dans les sons ge, gen, gein, gin, gi, gé  (c'est-à-dire chaque fois que le se prononce j). Par contre les ga, gué, gui, gain, gueu, gué, go , gon, gou, gu restent inchangés.

 

La transformation du l en y et le problème du double l

 

Le se “mouille” parfois jusqu'à devenir un lorsqu'il est en tête de mot (un yit, un litou lorsqu'il suit le que l'on devine tout juste dans Yaudus' (Glaudius, Claudius) ou yand (gland). Il est remplacé par un dans de nombreux mots en bl et plBlanc devient byanc, pleine devient pyein*ne. C'est dans le souci de retrouver immédiatement l'origine du mot que j'ai systématisé le remplacement du l par un et non par un i, souvent possible. Je n'écrirai pas piâre” pour plaire mais pyâre : çtés piârres pourrint-ti t'pyâre ? (ces pierres pourraient-elles te plaire ?). De même le lecteur comprendra immédiatement lorsqu'il lira : dz'ai bié du byé na (j'ai beaucoup de sarrazin).

Le l, lorsqu'il suit un n'est plus remplacé par un y, alors que cette pratique était répandue autrefois ; parmi les dernières traces de cette transformation citons le verbe yapper qui vient de clapper. On notera ici que ces cl,encore prononcés “cy” ou “ky” ou “chy” ou “y” sont orthographiés ç par la plupart des patoisants qui proposent de prononcer comme un ch adouci (chuinté) ce ç. Ainsi dans le village voisin de Trivy on dit encore des çous pour des clous. Le problème ne se pose pas à Sivignon où les cl se prononcent soit “y” comme dans Yaude (Claude) soit “cl” c'est à dire normalement. Signalons tout de même le verbe chapter, qui vient de clapoter et qui signifie marcher dans la boue.

Il faut veiller à ce que la règle du remplacement du par un n'entraîne pas parfois une prononciation fautive. Ainsi, pour la table, il faut impérativement éviter la prononciation “tabie”, d'où l'emploi d'une apostrophe entre le et le y : la tab'ye. L'emploi de l'astérisque n'est pas souhaitable étant donné qu'il interdit par convention la prononciation de la consonne qui le précède, ici le b, ce qui donnerait une “taille”; nous verrons cela dans le paragraphe consacré à l'astérisque.

 

Le ll. Il est à l'origine de bien des difficultés de transcription. Dans certains textes en patois le double est remplacé par un pour garantir la prononciation (c'est le cas notamment des mots en oll) ; ainsi pour le mot mouillé dans lequel le son ou est remplacé par le son et le é final par i on ne peut pas retenir la graphie molli” (la prononciation correcte étant “moli”) ; on peut s'orienter vers une graphie du genre “mohyi”qui fait référence au se substituant au gl en ajoutant un intercalaire pour éviter la prononciation fautive “moi-yi” ; voilà qui est un peu trop compliqué et qui nous éloigne beaucoup du mot de base. Je préconise ici l'emploi de l'astérisque, placé juste avant le ll ce qui nous donne pour mouillé, mo*lli. L'symbolise la disparition d'une voyelle, ici le u, et, en séparant les deux syllabes il oblige le lecteur à “mouiller” son double l. On trouvera donc dans le lexique des astérisques placés avant certains doubles l.

On verra plus loin que j'utilise aussi l'astérisque pour séparer des syllabes sans double l. Cf. infra § 7.

 

Ainsi, avec un remplaçant le et le maintien du double l précédé d'un astérisque on respecte l'orthographe et l'étymologie tout en simplifiant et en éclairant la lecture du patois.

 

 

Les autres consonnes, vues en partant du français

 

Le c est concurrencé par le tse pour les mots en ch et par le k pour les mots dans lesquels il est suivi par un eu ou un i.

En remplaçant le par un on peut nettement différencier les mots qui devraient contenir un et dont la voyelle consécutive est è, eu ou i (tels que feurkèchie fricassée, keurde courge ou kîgni couiner), des mots contenant un q. On aurait pu choisir une graphie en ueu ou en oeu, ce qui aurait donné de jolies “coeuches”(cuisses)mais que penser des “coeurtelles”(crottes de chèvre) et comment écrire ki sans faire appel au q? Et puis, si le a été banni de nos dictionnaires de la Renaissance à la fin du XXème siècle, il était très présent auparavant. Le est une lettre ancienne, il vient du kaf (kaph) phénicien qui voulait dire “paume de la main” et il concurrençait jadis le ch pour la transcription des mots grecs et latins. Alors les charolais qui n'ont pas les mains dans leurs poches peuvent bien, après avoir transformé le ch en tse, mettre un k au son keu et au son ki.

En fin de mot, le c suivi d'un t se transforme parfois en k, l'insecte se métamorphosant en inseke.

 

Le d grâce au dze, se rencontre fréquemment. (cf. supra). Il pratique le cannibalisme en dévorant les malheureux re dans les fins de mot (fins de verbe notamment) en dre, ainsi on peut rende, vende, coude, moude etc...

 

Le g subsiste malgré la concurrence du dze et du y. On le retrouve lorsqu'il est associé aux voyelles a, é, i, o, on, ou, u.

Ainsi dans le mot dzigoter (gigoter)on voit le premier (à valeur de j) muter en dz et le second (à valeur de guese maintenir.

 

Suivi d'un r, le fait parfois appel à une voyelle intercalaire : la grenouille devient gornaude avec un intercalaire entre le et le r, le grenier devient gueurnî avec un eu intercalaire. Cette transformation provient sans aucun doute de l'affaiblissement du roulement du r, or on est encore incapable de dire, sans rouler le grenî” ou grenaude”. Mario Rossi a opté pour une orthographe dans laquelle le puissamment roulé est purement et simplement doublé (grrni, grrnaude).

 

Le j. Amoindri par l'emploi du dze il n'en subsiste pas moins, un bijou restant un bijou, pour le plus grand bonheur de ces dames. Et puisque l'on parle de bijoux, je ne vois pas pourquoi on s'escrimerait à mettre un s au lieu d'un pour marquer le pluriel tout comme pour les tsoux ou les pioux. Il convient de respecter les règles du français tant que cela n'est pas préjudiciable au patois. S'acharner à simplifier l'orthographe ne conduit qu'à couper les mots de leur histoire, à les “déraciner” et la langue, comme les hommes, a besoin de racines.

 

Le lIl est sujet à diverses manipulations qui font l'objet d'un paragraphe spécifique : la transformation du en y et le problème du double l. Voir supra. Rappelons que l'article défini le se dit très fréquemment eul selon les circonstances et le locuteur.

 

Le disparaît fréquemment dans les fins de mots en -dre (vende, rende coude) ou en -tre (quate, mette, batte) ; il disparaît parfois à l'intérieur d'un mot, dans ce cas la voyelle qui le précède est accentuée (un âbre).

 

Le lorsqu'il est suivi de te, a tendance à s'allonger et à avaler le te final, transformant un touriste en tourisse.

Lorsqu'il est suivi de que on obtient la même simplification, astérisque devenant astérisse.

 

Le prononcé en français se transforme souvent en j, on citera les ûjeaux (les oiseaux) , la maijon (la maison), la bije (la bise).

 

Le prononcé en patois sera écrit toutes les fois où l'emploi du risquerait d'entraîner une prononciation fautive en ssAinsi on écrira beuznot et bezain*ne avec un z.

 

Le ss, dans le corps des mots, est parfois prononcé ch le buisson devient beuchonla vesse devient veuche.

 

Le lorsqu'il est suivi de re avale ce re de temps à autre, les autres devenant les autes, battre, batte.

 

Le devant le son oi ou se prononce comme le des watts ; pour bien faire ressortir cette prononciation j'ai affublé quelques mots d'un initial. T'y wois-ti cment dz'y wois ? (Le vois-tu ainsi que je le vois ?).

Le est exceptionnellement remplacé par le comme dans pouya (pouvoir).

 

 

Tableau récapitulatif de la prononciation des consonnes, vues en partant du français

 

graphie française

se dit

s'écrit

fréquence

d'emploi

exemples d'emploi

bl

by

généralement

byanc, byaude

br

beur

parfois

beurtelle, beurouette

c

k

suivi de è,eu ou i

feurkèchie, keurde, kîgni

ch

ts

généralement

tsvau, boutson

ct

k

parfois en fin de mot

inseke

dr

d

généralement en fin de mot

moude, vende

g valant j

dz

généralement

dznou, dzigoter

gl

y

souvent

yand, sang*yier, yèce

gr

gueur, gor

parfois

gueûrni, gornaude

j

dz

généralement

dzo, toudze

l

y

parfois avant un i

yien, yimace

ll

*ll

parfois

mo*lli, tarto*lli

pl

py

généralement

pyintse, pyacâ

ss ou c prononcé s

ch

parfois

beuchon, chtu-là

s valant z

j

z

souvent

parfois

ûjeau, maijon, bije

bezain*ne, mazouère

st, sq

sse

parf. en fin de mot

tourisse, grotesse

tr

te

parf. en fin de mot

quate, batte, mette

v

w

 

généralement avant “oî”

 

woîture, woîsin, lawoî

 

 

B. Les consonnes vues en partant du patois

 

Remarque préliminaire : la consonne finale ne sonne pas en patois. En d'autres termes, on ne devrait jamais prononcer la consonne terminale d'un mot.

Evidemment cette règle souffre d'exceptions, comme nous le verrons plus loin.

Si l'on s'en réfère au professeur Mario Rossi, c'est dès le XIIème siècle que l'on a cessé de prononcer la consonne finale des mots et cette situation a duré jusqu'à la fin du XVIIIème siècle. Ensuite, sous les coups de boutoir de l'école, on est revenu à la prononciation de ces consonnes, sauf dans quelques zones géographiques, dont la nôtre.

La difficulté à mettre en place une orthographe cohérente pour les mots se terminant par une consonne se double d'une autre difficulté relative à la non liaison des mots entre eux, très fréquente : on peut même dire que la non liaison constitue la règle et la liaison l'exception à cette règle.

Faut-il ignorer l'existence de cette règle et supprimer purement et simplement les consonnes finales afin d'éviter à coup sûr une mauvaise prononciation ? On écrirait alors :

  • quan no-z-a des gro artou d'pî no-z-a pa un ptié souillé. Quand on a des gros orteils, on n'a pas un petit soulier.

  • quan t'a un gro nez t'a des gran moutsu. Quand tu as un gros nez tu as des grands mouchoirs.

Ce choix aurait pour conséquence la création d'une orthographe phonétique, donc instable et déroutante, portant atteinte à toutes les règles de grammaire connues (conjugaisons hésitantes, dispartition de la marque du pluriel, éloignement de l'étymologie).

Faut-il, au contraire, conserver les consonnes finales ? On écrirait alors

  • quand nos a des gros artous d'pîd nos a pas un ptiet souyier.

  • quand t'as un gros nez t'as des grands moutsus.

Ce choix aurait pour inconvénient d'entraîner une mauvaise prononciation (avec liaison) de gros artous et de pas un. Comparons la fréquence des caractères gras dans les deux types d'écriture, censés souligner ce qui est le plus proche de notre langue tant sur le plan lexical que grammatical. Incontestablement, la seconde graphie s'avère préférable d'autant plus que moyennant l'emploi de la barre oblique on peut résoudre le problème des liaisons inopportunes. La phrase présentant l'écueil de la liaison est alors modifiée ainsi : quand nos a des gros/artous d'pîd, nos a pas/un ptiet souyier. La barre oblique remplit le rôle de séparation nécessaire entre gros et artous ainsi qu'entre pas et un pour éviter la liaison fautive.

Malheureusement cet exemple, s'il met en valeur l'intérêt évident de la barre oblique, ne permet pas d'affirmer péremptoirement que l'on doit systématiquement conserver la consonne finale muette des mots patois. Un autre exemple éclairera mon propos :

Y'est don lu qu'vindra quan ô voudra ! C'est donc lui qui viendra quand il voudra ! La suppression du c final de donc et du final de quand permettent une bonne prononciation de la phrase. Dans le cas de donc on ne voit pas comment empêcher le lecteur de prononcer le c final si ce n'est en le supprimant. Au contraire, pour quand, on voit qu'il suffit d'utiliser la barre oblique afin d'empêcher la liaison. De cette observation on peut tirer une règle simple : on ne doit pas modifier l'orthographe d'un mot se terminant par une consonne “muette” (en français) , il suffit d'utiliser la barre oblique pour empêcher une liaison fautive, en cas de nécessité.

Trois problèmes doivent être résolus : celui des mots français qui ont une consonne finale prononcée en français et muette en patois, comme donc, celui des mots patois dont la consonne finale n'est pas prononcée, comme bôs, et celui des mots patois dont la consonne finale est prononcée, comme beuil.

a). Le cas des mots patois identiques aux mots français à l'exception de la consonne finale, prononcée en français mais tue en patois :

avec se dit ave (ou dave, avo, davo)

donc se dit don

avril, grésil se disent avri, grési

La solution la plus raisonnable consiste à supprimer la consonne tue, faute de quoi le lecteur prononcerait inévitablement le mot à la française.

b). Le cas des mots patois qui diffèrent des mots français et dont la consonne finale n'est pas prononcée :

Il s'agit de mots proches du français comme bôs (bois), frod (froid), som (sommeil) ou pîd (pied). Dès lors que l'on respecte le principe de non prononciation de la consonne finale tous ces mots peuvent sans problème être orthographiés au plus près de leur étymologie ce qui les rend nettement moins énigmatiques.

c). Le cas des mots patois dont la consonne finale est prononcée :

Ces mots sont peu nombreux mais ils existent. Pour qu'ils soient prononcés correctement sans que l'on modifie inutilement l'orthographe la plus logique en fonction de leur genre (masculin) l'ajout d'une apostrophe s'avère être une solution simple et efficace. Ainsi on écrira le meur' (le mur), le beuil' (le levier), cinq' (cinq), un pyeur' (un pleur), pyus', (plus).

 

 

Quand on observe un texte en patois orthographié selon mes préconisations on relève huit consonnes un peu particulières.

 

Le ç : il a la valeur d'un ch doux dans des mots tels que çtu, çtu-là. Evidemment il ne condamne pas le ç classique, peu

employé (çrîsi, cerisier).

 

Le dz : je n'y reviendrai pas ici, il fait l'objet d'un paragraphe spécifique plus haut.

 

Le j : il se substitue à de nombreux s prononcés z en français. La bise devient la bîje, l'oiseau devient l'ûjeau. Il est donc souhaitable de ne pas utiliser le g à cette fin, dans un souci de simplification et d'uniformisation. Dès lors que l'on respecte ce choix orthographique, quand on rencontre un j dans un mot patois on sait que l'on est presque à coup sûr en présence d'un s qui a évolué.

 

Le k : il se substitue au c toutes les fois que dans un mot donné, le c , étant suivi d'un eu ou d'un i, ne peut être conservé sans qu'il ne se prononce s. Ainsi on écrira keurde pour la courge. On aurait pu écrire ce mot queurde, coeurde ou cueurde mais dans un souci d'harmonisation et d'homogénéité il m'a semblé plus intéressant de réactiver la lettre k, injustement boudée. En outre l'usage du k permet de bien différencier ces mots de ceux pour lesquels on utilise le q. Quilli vient de quille alors que kigni vient de couiner et insèke d'insecte.

 

Le ts : comme le dz, il fait l'objet d'un paragraphe spécifique.

 

Le w : il remplace le v lorsque l'on veut obtenir la prononciation que l'on rencontre dans le mot “français” watt. On écrira : le woîsin a trouwé d'la ouate dans sa woîture. La conjugaison du verbe troue (trouver) est la parfaite illustration de la nécessité de ce w et de ses limites. Cf. Ch. V. § 7.

 

Le y : il est considéré comme une consonne lorsqu'il remplace le gl ou le l ou encore, mais exceptionnellement, le v. Le yand (le gland), le yiévre (le lièvre), pouya (pouvoir).

 

Le z : il remplace le s dans les mots où l'on risquerait de prononcer le s comme un double s : on écrira mazouére plutôt que masouére.

 

Tableau récapitulatif des consonnes

à usage particulier du patois de Sivignon

 

 

cons.

rempl.

fréq. d'emploi

exemples et conditions d'emploi

ç

ch doux

rare

çtu, çtu-là,

dz

son j

général.

dzardin, dzneu

j

son z

souvent

bîje, ûjeau

k

c

parfois

seulement pour former les sons ke, keu et ki

ts

ch

général.

bâtsi, tsin

w

v

parfois

notamment avant le son oi

y

gl, l

souvent

yand, pyacâ

z

s

parfois

seulement pour assurer la bonne prononciation (mazouére)

 

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J
Merci ici aussi... je vais plus bas !!
Répondre
O
<br /> <br /> Tu peux danser là sans bas !<br /> <br /> <br /> <br />